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Antoine Collet

4 avril 2024

Vers une parfumerie plus verte

Vers une parfumerie plus verte

La résurgence des fragrances et des huiles naturelles dans la parfumerie marque un retour aux racines anciennes de la conception des parfums, entrelaçant la tradition avec les désirs modernes d'authenticité, de durabilité et de bien-être holistique. Cet essai se penche sur les raisons de cette tendance croissante, son impact sur l'industrie et le voyage sensoriel que ces ingrédients naturels nous font vivre.

L'utilisation croissante de senteurs et d'huiles biologiques dans les parfums est le résultat d'une confluence d'éléments, notamment la compréhension croissante par les consommateurs de l'assurance santé et des ramifications environnementales des ingrédients fabriqués par l'homme, le désir d'authenticité dans les arômes et une compréhension plus profonde des avantages thérapeutiques associés aux huiles naturelles pour la peau. Ce changement n'est pas simplement une tendance, mais un mouvement puissant vers l'acceptation du lien inné entre la nature et le bien-être de l'homme.

La parfumerie trouve ses origines dans l'Antiquité, où les Égyptiens, les Romains et les Grecs utilisaient des résines naturelles, des huiles et des extraits de plantes non seulement pour leurs propriétés aromatiques, mais aussi pour leurs vertus thérapeutiques et spirituelles. Au fil des siècles, la parfumerie a évolué, mais l'introduction de substances synthétiques dans les années 1800 a marqué une rupture avec ces origines naturelles. Aujourd'hui, notre entreprise assiste à une renaissance de ces pratiques anciennes, les parfumeurs et les acheteurs cherchant à revenir à des senteurs authentiques et naturelles.

Les parfums et les huiles biologiques offrent une authenticité que les produits synthétiques ne peuvent pas reproduire. Les variations subtiles des profils aromatiques dues au sol, au climat et aux méthodes de récolte confèrent à chaque parfum naturel un caractère et une profondeur uniques, profondément appréciés par les amateurs. Cette complexité et l'histoire qui se cache derrière chaque ingrédient trouvent un écho auprès des consommateurs qui recherchent un lien plus personnel et plus significatif avec leurs parfums.

Les inquiétudes concernant les effets potentiels sur le bien-être des produits chimiques synthétiques présents dans les parfums traditionnels ont conduit de nombreuses personnes à rechercher des alternatives entièrement naturelles. Les parfums naturels, à base de plantes sans produits chimiques, sont considérés comme plus sûrs et plus doux pour la peau. En outre, l'approvisionnement durable de ces substances, qui met l'accent sur des pratiques éthiques de récolte et d'exploitation, intéresse les consommateurs soucieux de l'environnement qui se préoccupent de la santé de la planète en même temps que de la leur.

La création de parfums à partir de senteurs naturelles et d'huiles cutanées est une œuvre d'art qui nécessite une connaissance approfondie des matériaux ainsi qu'une vision créative pour les mélanger harmonieusement. La parfumerie naturelle repose autant sur la sélection et la combinaison habiles des fragrances que sur la connexion du parfumeur avec le monde biologique. Il faut de la patience et du respect pour les composants bruts, des qualités qui confèrent au produit final un sens de l'intégrité et de l'objectivité.

Au-delà de leur charme aromatique, les huiles naturelles sont réputées pour leurs propriétés thérapeutiques, de la lavande apaisante aux notes d'agrumes vivifiantes. Cette approche holistique de la senteur, qui associe le parfum à une bonne alimentation, est un moteur essentiel de la popularité des parfums naturels. Les consommateurs recherchent de plus en plus des produits qui offrent des avantages allant au-delà de l'esthétique pure, s'alignant ainsi sur les tendances plus générales en matière de santé et de bien-être.

Le passage aux ingrédients naturels n'est pas sans poser de problèmes. La variabilité des arômes naturels, l'accès limité à certaines matières premières et l'amélioration des coûts de production constituent des obstacles importants. Pourtant, ces difficultés ont stimulé l'innovation au sein de l'industrie, depuis les progrès de l'agriculture durable jusqu'à la création de nouvelles techniques d'extraction qui préservent l'intégrité des senteurs naturelles.

Les parfums naturels nous invitent à un voyage sensoriel qui transcende l'olfaction. Ils nous relient à la terre, aux palmiers qui ont une tendance et récoltent les plantes, et à nos anciennes traditions de parer le corps avec les parfums de la nature. Ce lien enrichit la connaissance de l'utilisation du parfum et en fait un rituel profondément personnel et évocateur.

La demande de parfums naturels et d'huiles pour la peau ne cessant de croître, il est probable que les frontières entre la parfumerie, l'aromathérapie et l'herboristerie s'estompent encore davantage. Cette convergence annonce un avenir où les parfums ne seront pas seulement appréciés pour leur beauté, mais aussi pour leur capacité à nourrir l'ensemble du corps, du cœur et de l'âme. L'industrie se trouve à un moment crucial, car elle a le potentiel de redéfinir ce que signifie créer et porter un parfum.

L'utilisation croissante de senteurs et d'huiles naturelles dans la parfumerie est plus qu'une tendance ; il s'agit d'une activité visant à raviver notre partenariat avec le monde naturel par le biais du pouvoir des senteurs. Ce mouvement est en train de remodeler l'industrie, ce qui empêche les parfumeurs d'innover et d'offrir à leurs clients des parfums qui ne sont pas seulement magnifiques, mais aussi significatifs et conscients. À l'avenir, l'attrait des parfums biologiques ne réside pas seulement dans leur complexité aromatique, mais aussi dans leur remarquable capacité à nous relier à notre environnement, à notre passé historique et à nous-mêmes de manière puissante et durable.

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6 décembre 2023

La préservation des monuments pour les générations futures

Les monuments, ces édifices étonnants et durables qui témoignent de l'histoire, de la tradition et de l'identité personnelle de l'être humain, occupent une place unique dans notre conscience commune. Ils ne sont pas seulement des édifices réels ; ils symbolisent l'incarnation tangible de notre passé, avec les récits, les défis et les triomphes de nombreuses années. Les monuments sont sacrés non seulement du point de vue religieux, mais aussi parce qu'ils nous relient à nos origines, nous inspirent et nous indiquent les leçons à tirer de l'histoire. Cet essai se penche sur la question du caractère sacré des monuments, en explorant les multiples méthodes que ces édifices mettent en œuvre pour préserver notre propre histoire et favoriser la compréhension de notre passé.

Au fond, le caractère sacré des monuments est étroitement lié à la préservation de l'histoire. Les monuments sont les vestiges physiques d'époques révolues et offrent une fenêtre sur le passé. Ils constituent un lien concret avec le passé historique, nous permettant de voir, de sentir et de ressentir la planète telle qu'elle était autrefois. Ces bâtiments fonctionnent comme des manuels scolaires, nous enseignant les individus, les événements et les civilisations qui ont façonné notre société.

Prenons, par exemple, les excellentes pyramides de Gizeh en Égypte. Ces structures monumentales, construites il y a plus de 4 500 ans, captent encore la créativité des gens du monde entier. Ce ne sont pas seulement des tombeaux de pharaons, mais des représentations de la technologie sophistiquée, des mathématiques et de l'art de la civilisation égyptienne historique. La préservation de ces pyramides et l'étude de leurs hiéroglyphes ont fourni des informations inestimables sur la culture et l'histoire du monde historique.

En outre, des monuments comme le Parthénon à Athènes ou peut-être le Colisée à Rome nous transportent vers l'apogée de la société grecque et romaine, respectivement. Ils nous permettent d'apprécier la magie du design de ces époques ainsi que la magnificence des réalisations ethniques. Sans le caractère sacré accordé à ces monuments, une grande partie de notre compréhension de l'arrière-plan pourrait être perdue ou abstraite.

Les monuments sont également nécessaires pour encourager l'identité ethnique. Ils servent d'icônes de satisfaction et d'identification à l'échelle du pays, nous rappelant les valeurs, les traditions et les réussites qui établissent une certaine tradition ou une certaine terre. Ces éléments ne sont pas seulement des objets, mais des représentations vivantes de l'identité personnelle de la société.

Par exemple, la Sculpture de la Liberté en Amérique est un symbole renommé de la flexibilité et de la démocratie. La vie réelle de la statue est en fait une preuve de l'âme américaine et de son engagement en faveur de la liberté et des droits propres pour tous. Plus qu'un simple morceau de métal, il s'agit d'un logo unificateur qui motive les citoyens américains à défendre les concepts sur lesquels leur pays a été fondé.

De même, le Taj Mahal, en Inde, n'est pas seulement une merveille architecturale, mais aussi un symbole d'amour et de dévotion. Il représente les riches traditions ethniques de l'Inde et sert de note à l'expertise créative et structurelle du pays. Le caractère sacré du Taj Mahal ne réside pas seulement dans sa beauté, mais aussi dans les valeurs qu'il représente, soulignant l'importance de l'amour, de l'art et des traditions.

Les monuments, par leur présence même, encouragent la représentation et la compréhension. Chaque fois que nous restons devant ces structures, nous sommes incités à penser aux comptes qui les alimentent, aux personnes qui les ont construites, ainsi qu'aux activités qui se sont déroulées autour d'elles. Cette méthode de réfraction nous permet d'interagir avec notre propre humanité et les expériences individuelles partagées qui transcendent le temps et l'espace.

Le Mémorial de l'Holocauste à Berlin est un exemple poignant de monument qui favorise la représentation et l'étude. La forme austère et sombre du mémorial, avec son industrie de pièces définitives de différentes hauteurs, oblige les visiteurs à faire face aux horreurs de l'Holocauste. Il constitue une note solennelle des conséquences de la haine, de l'intolérance et de l'indifférence. En préservant le caractère sacré du monument, nous veillons à ce que les générations futures continuent à découvrir l'Holocauste et l'importance d'empêcher que de telles atrocités ne se reproduisent.

Les monuments offrent des possibilités éducatives aux universités, aux galeries et aux musées. Ils fonctionnent comme des salles de classe en plein air, permettant aux enseignants de donner vie à la culture et à l'histoire pour les étudiants. Les visites de monuments par l'industrie peuvent être des expériences transformatrices, aidant les jeunes élèves à interagir avec le passé d'une manière que les manuels scolaires et les cours magistraux sont incapables de reproduire.

Le caractère sacré des monuments s'explique par leur fonction de source d'idées créatives. Ces structures monumentales servent fréquemment de canevas à des manifestations innovantes, que ce soit par la photographie, l'art, la littérature ou d'autres formes d'œuvres d'art. Les musiciens et les écrivains se sont inspirés de l'attrait, du passé historique et du symbolisme des monuments.

Par exemple, d'innombrables amateurs de photographie ont capturé la Tour Eiffel à Paris sous différents aspects et perspectives, mettant en valeur sa célèbre existence ainsi que les jeux d'ombre et de lumière. Des écrivains comme Victor Hugo ont utilisé la cathédrale Notre-Dame comme toile de fond de leurs récits, conférant ainsi au monument une pertinence littéraire. Ainsi, les monuments deviennent non seulement des sujets mais aussi des muses pour les musiciens et les créateurs.

Le caractère sacré des monuments dépasse leur existence réelle ; il inclut leur rôle dans la préservation du passé historique, la culture de l'identité ethnique, le marketing de la représentation et de l'étude, et la motivation de l'expression imaginative. Ces structures ne sont généralement pas de simples reliques du passé ; ce sont des signes résiduels qui nous rattachent à notre patrimoine et nous rappellent les idéaux et les leçons qui définissent nos sociétés. Il est de notre responsabilité collective de sauvegarder et d'honorer le caractère sacré des monuments, en veillant à ce qu'ils continuent à fonctionner comme des phares de la connaissance, Grande Mosquee Sheikh Zayed Abu de l'identité et de l'inspiration pour les générations futures. Ce faisant, nous protégeons non seulement les bâtiments physiques, mais aussi le patrimoine immatériel qu'ils symbolisent. Les monuments ne sont pas seulement des monuments ; ils sont les gardiens de notre histoire individuelle commune.

23 octobre 2023

La Sécurité des Journalistes en Zone de Guerre

La sécurité des journalistes en zone de guerre est une préoccupation majeure, car ces professionnels jouent un rôle essentiel en fournissant des informations cruciales sur les conflits armés, les violations des droits de l'homme et les réalités du terrain. Cependant, la couverture médiatique des zones de guerre expose les journalistes à des risques considérables, allant de la violence physique à la détention arbitraire et même à la mort. Dans cet essai, nous examinerons les enjeux entourant la sécurité des journalistes en zone de guerre et les implications de ces risques pour la liberté de la presse et la démocratie.

Les journalistes en zone de guerre jouent un rôle vital en informant le public sur les conflits, en rendant compte des conséquences humanitaires des combats, et en mettant en lumière les violations des droits de l'homme. Ils contribuent également à la responsabilisation des acteurs en conflit en exposant les exactions et les crimes de guerre.

Cependant, les risques auxquels sont confrontés les journalistes en zone de guerre sont considérables. Ils sont exposés à la violence des combats, aux tirs croisés et aux attaques délibérées de la part des parties en conflit. Les enlèvements et les détentions arbitraires sont également courants, avec des journalistes pris en otage pour obtenir des rançons ou pour exercer des pressions politiques.

Les conséquences de ces risques sont graves, car elles peuvent entraîner des blessures graves, des traumatismes psychologiques et même la mort. La sécurité des journalistes est donc une préoccupation majeure pour les organisations de médias, les gouvernements et les organismes internationaux.

Un exemple frappant des risques auxquels sont confrontés les journalistes en zone de guerre est la situation en Syrie. Depuis le début du conflit en 2011, de nombreux journalistes ont été tués, enlevés ou détenus, parfois pendant de longues périodes. Cette situation met en évidence les dangers auxquels sont confrontés les professionnels des médias qui cherchent à couvrir des conflits complexes et dangereux.

La sécurité des journalistes en zone de guerre est essentielle pour la liberté de la presse et la démocratie. Lorsque les journalistes sont empêchés d'exercer leur métier en toute sécurité, cela limite la capacité du public à accéder à une information indépendante et objective, ce qui peut avoir des répercussions sur la transparence, la responsabilité et la prise de décision démocratique.

Il incombe aux gouvernements, aux organismes internationaux et aux organisations de médias de prendre des mesures pour garantir la sécurité des journalistes en zone de guerre. Cela peut inclure la formation des journalistes à la sécurité en zone de conflit, la fourniture d'équipement de protection, la coordination avec les forces militaires pour assurer la sécurité des reporters sur le terrain, et la poursuite en justice des auteurs de violences contre les journalistes.

En conclusion, la sécurité des journalistes en zone de guerre est essentielle pour la liberté de la presse et la démocratie. Les journalistes qui risquent leur vie pour informer le public méritent notre respect et notre protection. Il est impératif de prendre des mesures pour réduire les risques auxquels ils sont confrontés et pour garantir leur sécurité pendant qu'ils remplissent leur mission importante de rendre compte des conflits et des réalités du terrain.

21 juillet 2023

L'alliance homme-machine

Imaginez que vous êtes attaché au cockpit d'un avion de chasse de grande qualité, qui fonce dans le ciel à une vitesse fulgurante, à quelques mètres du sol. L'exaltation, l'adrénaline et la sensation de vitesse sont indescriptibles. Dans cet essai, nous allons étudier l'expérience extraordinaire que représente le fait de voyager à bord d'un avion de chasse à basse altitude, en approfondissant les sensations, l'impact sur les sens et le lien profond qui existe entre l'homme et la machine. Lorsque l'avion de chasse accélère sur la piste, la force des moteurs le propulse vers l'avant avec une énergie inégalée. La poussée pure générée par les moteurs est une sensation réelle qui fait vibrer tout le corps. Le rugissement assourdissant des moteurs engloutit le cockpit, créant une expérience auditive intense qui souligne l'immense force en jeu.

Voler à basse altitude à bord d'un avion de chasse donne une toute autre idée de la vitesse. En voyant le sol défiler à des mètres sous soi, l'expérience de la poussée du sol est stupéfiante. La planète devient floue à mesure que l'avion initial et l'avion se fondent dans le paysage, ce qui donne l'impression de ne faire qu'un avec la vitesse et l'énergie du voyage. À ces vitesses élevées, les stimuli visibles bombardent les détecteurs, créant une expérience surréaliste et étonnante. Le paysage se transforme en un flou de couleurs, de styles et de compositions. La rapidité avec laquelle le paysage défile met votre tête au défi de traiter les informations visibles, laissant souvent une impression durable de crainte et d'émerveillement.

Alors que l'avion de chasse manœuvre au moyen de transformations serrées et de montées et descentes à grande vitesse, l'avion initial et les voyageurs subissent la pression des forces gravitationnelles, connues sous le nom de facteurs G. Ces causes exercent une pression sur le corps et sur l'environnement, ce qui peut entraîner une perte d'énergie. Ces causes exercent une pression sur le corps, de sorte qu'il se sent plus lourd ou plus léger en fonction de la trajectoire de la vitesse. Les forces G intensifient l'aspect physique de la rencontre, ajoutant à la sensation générale de vitesse et créant un sentiment particulier, presque d'apesanteur. Voyager dans les airs à bord d'un avion de chasse nécessite une acuité émotionnelle accrue tout en se concentrant. Les vitesses élevées et les manœuvres à basse altitude nécessitent une détermination en une fraction de seconde et un contrôle précis. La brillante concentration nécessaire pour piloter l'avion à de telles vitesses intensifie les sens du pilote, créant un état émotionnel extraordinaire qui amplifie encore la sensation de vitesse.

Au-delà des sensations de vitesse, voler à l'intérieur d'un avion de chasse est une orchestration de vues, de sons et de sentiments. Les mouvements synchronisés de l'avion, l'interaction harmonieuse des condes et la symphonie du son des moteurs se combinent pour produire une expérience immersive qui laisse une empreinte durable dans l'esprit. Voler à basse altitude à bord d'un avion de chasse est une expérience spectaculaire et viscérale, où la vitesse et la puissance sont au rendez-vous. De la poussée intense des moteurs à l'accélération du sol, toutes les facettes de l'expérience amplifient les sensations et créent une merveilleuse aventure. La sensation de vitesse dans un avion de chasse transcende la simple accélération ; elle devient un lien profond entre l'homme, l'appareil et la liberté illimitée du ciel.

14 juin 2023

13 Novembre et traumatisme

Mercredi 8 septembre 2021 s’ouvrira le procès des attentats du 13 novembre 2015. Cet épisode judiciaire hors-norme, qui durera plusieurs mois, constituera à n’en pas douter une étape majeure pour les victimes et leurs proches.
Directeur d’études à l’École pratique des hautes études de Paris, Francis Eustache est à la tête de l’unité de recherche « Neuropsychologie et imagerie de la mémoire humaine ». En 2016, il a initié, avec l’historien Denis Peschanski, le programme « 13-Novembre », dédié à la compréhension des mémoires traumatiques. Il nous en présente les premiers résultats.

Le procès qui va s’ouvrir mercredi pourrait-il raviver le traumatisme subi par les victimes de ces terribles attentats ?

Francis Eustache : Les réponses à cette question sont complexes et diffèrent d’une personne à l’autre. Le procès est certes redouté, mais il est attendu depuis plusieurs années. Il ne s’agit pas d’un événement imprévu, qui surgirait brutalement, comme lorsque la personne est confrontée à un autre événement traumatique. Il occupe au contraire une place espérée dans cette longue chronique, une forme d’aboutissement qui n’est pas un point final.

Cela va toutefois sans nul doute être une épreuve difficile, et toutes les victimes n’y participeront pas. Pour des raisons logistiques, et aussi parce que certaines personnes ne veulent pas voir, pas raconter. Ou ne le peuvent pas. C’est en particulier le cas de certaines personnes qui ont été endeuillées par les attentats. Mais le procès va néanmoins participer à la reconstruction des victimes d’une manière générale. Au-delà de l’établissement des culpabilités et de l’attribution des peines, en faisant appel à la narration, il va participer, en approchant la vérité des faits, à la réécriture des événements dans leur mémoire. Et, je l’espère, ce nouveau récit partagé contribuera, lentement, à procurer non seulement un peu de réconfort, mais aussi à prendre de la distance par rapport à l’émotion exacerbée et au chagrin. Sans pour autant oublier.

Dans ce contexte, au cours des mois à venir, chaque personne qui s’exprimera dans l’espace public devra avoir conscience qu’elle porte une responsabilité dans la façon dont elle rendra compte de cet événement. Ce qui se dit dans l’enceinte du tribunal est une chose, ce que l’on porte sur la place publique en est une autre. Il y a une ligne rouge à ne pas franchir, il faut éviter de sombrer dans la surenchère, d’entrer dans des détails inutiles. D’autant plus que le procès va durer plusieurs mois. Sinon, il y a un risque réel de dommages supplémentaires pour les victimes. On peut établir une analogie avec le cabinet du médecin, où s’expriment des propos importants pour la thérapie du patient, mais qui n’ont pas vocation d’être divulgués.

In fine, il s’agit pour nos sociétés démocratiques de montrer qu’elles sont capables, non seulement de répondre au terrorisme, mais aussi d’accompagner les victimes avec dignité. La façon dont ce long procès va se dérouler, devant nous tous, est aussi importante en ce sens ; l’éthique de notre société y est convoquée.

TCF : Pouvez-vous nous en dire plus sur le programme « 13-Novembre », que vous avez initié avec l’historien Denis Peschanski ? Comment cette idée a-t-elle germé dans vos esprits ?

FE : Le programme « 13-Novembre » a démarré en avril 2016. Prévu pour durer 12 ans, il est articulé autour de deux études principales : l’étude « 1000 » (pour 1 000 participants) et l’étude « Remember ».

Nous avons divisé les participants en quatre cercles, selon leur proximité à l’événement. Le cercle 1 correspond aux personnes directement exposées aux attentats. Le cercle 2, aux personnes qui vivent ou travaillent dans les quartiers visés, mais n’étaient pas présentes au moment de l’attaque. Le cercle 3 est constitué par les personnes qui vivaient en région parisienne à l’époque (à l’exclusion des personnes des 2 premiers cercles). Enfin, dans le cercle 4, on retrouve des personnes qui vivaient en province, plus précisément dans 3 villes : Caen, Metz et Montpellier. Les personnes des cercles 2, 3 et 4 ont appris la survenue de l’attentat à la radio, à la télévision, par téléphone, etc.

Concrètement, les participants ont d’abord intégré l’étude 1000, qui a consisté en des entretiens filmés, puis 200 d’entre elles, appartenant uniquement aux cercles 1 et 4, ont intégré Remember. Cette seconde étude implique quant à elle des examens médicaux, psychologiques et en imagerie cérébrale (IRM). Elle vise principalement à comprendre pourquoi certaines personnes, confrontées à un tel événement, développent un trouble de stress post-traumatique tandis que d’autres vont être résilientes. L’idée est d’identifier les mécanismes à l’œuvre, et les éléments qui les renforcent ou les résorbent.

TCF : Pourriez-vous nous rappeler en quoi consiste le trouble de stress post-traumatique ?

FE : Le trouble de stress post-traumatique survient après un événement durant lequel la victime perçoit qu’elle est en péril, que son intégrité physique (ou celle d’une personne dont elle est proche) est potentiellement menacée. Face à cette situation, la personne se sent totalement démunie.

De façon arbitraire, selon les critères actuels, on évoque le diagnostic de trouble de stress post-traumatique si les symptômes perdurent un mois après cet événement traumatique. Avant cette période, on parle de stress aigu. Celui-ci se rapproche davantage du stress auquel tout un chacun a pu être confronté (sans qu’il n’y ait forcément de lien avec un événement traumatique) : celui d’un entretien important, d’une soutenance de thèse… Ses effets s’estompent généralement en quelques jours. Dans le trouble de stress post-traumatique, au contraire, les conséquences du stress sont durables.

Le symptôme principal qui caractérise ce trouble est ce que l’on appelle les reviviscences (ou les « intrusions ») : les personnes revoient des images (ou réentendent des sons, perçoivent des odeurs, etc.) qui appartiennent à la scène du traumatisme.

TCF : En quoi ces intrusions diffèrent-elles des souvenirs ?

FE : Il ne faut pas confondre ces intrusions avec des souvenirs : un souvenir est quelque chose de construit. Vous vous souvenez de ce que vous avez fait dimanche dernier, vous revoyez les images, mais vous avez conscience que ces images appartiennent au passé. Le souvenir est contextualisé : vous savez comment vous étiez arrivé là, ce qui s’est passé avant, après, etc.

Les intrusions au contraire sont des éléments disparates, désorganisés, chaotiques. Elles sont très sensorielles, très émotionnelles. Et, à la différence d’un souvenir, elles surgissent dans le présent : l’individu qui en est victime les perçoit comme si l’événement se produisait à nouveau. C’est pour cela que l’on parle de blessés psychiques : la blessure causée par le traumatisme demeure béante du fait de ces intrusions incessantes.

Face à ces intrusions, la personne développe des mécanismes d’évitement, pour se protéger. Mais ces mécanismes protecteurs finissent par être tellement envahissants qu’ils deviennent à leur tour des symptômes. Par exemple, pour des attentats comme le 13 Novembre, qui ont lieu en présence de nombreuses personnes, la victime va avoir tendance à éviter les foules, à rencontrer peu de gens, elle va éviter les salles de spectacles, les lieux clos, et sa vie sociale va se restreindre en conséquence.

À tout cela s’ajoutent des réactions végétatives : sursauts, cauchemars, qui constituent d’autres stigmates de cette blessure. Enfin, d’autres symptômes et comorbidités vont parfois accompagner ce « noyau central » : dépression, anxiété, addictions, difficultés d’interactions sociales… Mais quoi qu’il en soit, le cœur du syndrome est bien cette capacité à réguler les intrusions. Elles sont au centre du trouble, tout le reste gravite autour, avec des expressions différentes d’une personne à l’autre.

TCF : L’étude Remember a justement étudié les mécanismes de contrôle de ces intrusions. Comment s’est-elle déroulée ?

FE : La grande force de cette étude réside dans son design général et dans le nombre important de participants. L’étude porte sur deux groupes principaux : l’un est constitué de personnes qui étaient au Bataclan, ou sur les terrasses attaquées, l’autre est un groupe « contrôle » (des habitants de Caen qui n’ont pas été directement impactés par les attentats – il s’agit du cercle 4).

Le groupe des victimes directes des attentats est ensuite subdivisé en deux sous-groupes, selon que ces participants ont développé un trouble de stress post-traumatique ou se sont avérés résilients. Enfin, les membres de chacun de ces deux sous-groupes sont appariés en fonction de leur situation précise face aux scènes des attentats (s’ils étaient dans la fosse du Bataclan, sur une terrasse, plus loin, ils étaient policiers, médecins, etc.).

Ce design est, scientifiquement parlant, extrêmement solide. De plus, le grand nombre de participants (200 personnes, dont environ 120 membres du cercle 1), permet des analyses statistiques très puissantes.

Pour savoir pourquoi certaines victimes sont capables de maîtriser la survenue des intrusions typiques du trouble de stress post-traumatique tandis que d’autres n’y parviennent pas, nous avons centré nos analyses sur l’IRM de haute résolution. Cette technologie permet, d’une part d’étudier la morphologie du cerveau, pour détecter d’éventuelles modifications d’un groupe à l’autre. D’autre part, l’IRM fonctionnelle permet quant à elle de mesurer l’activité du cerveau pendant que le participant réalise une tâche, en l’occurrence de visualiser le cerveau d’un sujet qui tente de repousser une intrusion.

TCF : Il ne s’agissait bien sûr pas de réveiller les intrusions traumatiques chez les sujets…

FE : Non, évidemment, pour des raisons éthiques évidentes. Grâce à Pierre Gagnepain, qui avait déjà expérimenté cette méthodologie dans un autre cadre, nous avons conçu une expérience appelée « think – no think » (« penser – ne pas penser ») permettant de générer des intrusions « neutres », c’est-à-dire, non traumatiques, en faisant l’hypothèse que ces intrusions neutres allaient mettre en œuvre les mêmes mécanismes cérébraux que les intrusions traumatiques. Pour prendre une image : si vous conduisez votre voiture et que quelque chose surgit devant vous, vous allez immédiatement appuyer sur le frein, qu’il s’agisse d’un sanglier ou d’un enfant ! La réaction émotionnelle qui s’ensuit est différente, mais les mécanismes qui permettent le contrôle sont les mêmes.

Le think – no think consiste à faire surapprendre aux participants des associations entre des couples de concepts. Par exemple le mot écrit « bateau » et l’image d’une maison. Après cet apprentissage, quand le participant voit écrit le mot bateau, immédiatement lui vient à l’esprit l’image d’une maison, de façon quasi irrépressible. On mime ainsi la survenue de l’intrusion traumatique, sans le traumatisme.

Ensuite, une fois dans l’IRM, on demande à la personne, lorsqu’elle voit le mot bateau écrit en lettres rouges, d’essayer de chasser l’image de la maison, qui survient d’abord de façon irrépressible. On mesure l’activité du cerveau dans cette situation précise.

Les résultats de ces travaux ont fait l’objet d’une publication dans la revue Science en début d’année.

TCF : Pouvez-vous nous expliquer ce qu’ils révèlent ?

FE : Nous avons découvert que la capacité à réfréner les intrusions, qui permet la résilience, s’explique notamment par des capacités de contrôle de la mémoire qui sont sous-tendues par des structures en réseau coordonnées par le cortex frontal, situé en avant du cerveau.

Quand une personne résiliente se trouve face au mot bateau écrit en rouge, et cherche donc à repousser l’intrusion de l’image associée, toutes les connexions neuronales de cette zone se synchronisent avec d’autres structures cérébrales, ce qui lui permet de contrôler les régions du cerveau impliquées dans la mémoire, les émotions, les perceptions d’une façon extrêmement efficace. Plus efficace même que ce que l’on observe chez les personnes du groupe contrôle, qui n’ont pas été confrontées directement aux attentats, ce qui constitue un résultat particulièrement intéressant. Notre travail ne souligne donc pas seulement les mécanismes défaillants, mais aussi, et c’est essentiel, ceux qui sont amplifiés pour permettre aux victimes de surmonter l’adversité.

La publication dans Science, utilisant l’imagerie fonctionnelle des intrusions dans le trouble de stress post-traumatique, souligne ce point critique du contrôle de la mémoire. Mais le trouble de stress post-traumatique a d’autres conséquences sur la mémoire, ce que ressentent très bien les victimes puisqu’il s’agit de leur mémoire autobiographique, celle qui est en lien avec leur identité personnelle.

Un autre volet du programme, qui utilise cette fois-ci des données psychopathologiques et neuropsychologiques, montre que la mémoire autobiographique, qui sert de base à la projection dans le futur, est aussi profondément modifiée. Le traumatisme, et ce qui s’écrit autour de lui, prend une place centrale, au détriment des intérêts antérieurs de la victime.

La compréhension des mécanismes qui président à ces changements est essentielle, et les leviers pouvant les modifier le sont plus encore, car ils pourraient constituer des pistes thérapeutiques nouvelles.

TCF : Sait-on d’où proviennent les différences observées d’un individu à l’autre ? Certaines personnes étaient-elles « prédestinées » à être résilientes, en raison de leur bagage génétique, de leur entourage social ?

FE : Nous n’avons pas encore tous les éléments pour pouvoir répondre à ces questions bien évidemment cruciales. Les données sont en train d’être analysées, ce qui prend du temps. Par ailleurs, le suivi de l’évolution de ces patients nous fournira des informations complémentaires. À terme, nous espérons identifier les éléments défavorables, qui entraînent un stress post-traumatique, et les éléments qui favorisent au contraire la résilience.

Dans notre étude, nous avons déjà constaté que les professionnels (policiers, membres des professions médicales…) étaient mieux protégés vis-à-vis de ce trouble que les autres victimes. Probablement en raison de leur formation, et du fait qu’elles sont intervenues avec un but, un rôle précis à jouer. On sait en effet que la mémorisation est renforcée par l’accès au contexte dans lequel se produit le souvenir.

L’exemple typique est le souvenir flash : si vous demandez à des personnes ce qu’elles faisaient le 11 septembre 2001, elles vous décriront probablement très précisément ce qu’ils étaient en train de faire. Elles s’en souviennent très bien (ou croient s’en souvenir très bien, car comme tout souvenir, celui-ci évolue au fil du temps), parce qu’elles ont ressenti une émotion forte au moment de l’événement. Le contexte était renforcé, et le souvenir est donc particulièrement durable. Dans le cas des attentats du 13 novembre 2015, une enquête du CREDOC (Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie), associée à notre programme, a montré que 90 % de la population en France avait formé un tel souvenir flash.

Mais si un événement crée une émotion extrême, comme chez les victimes, l’effet est contraire. La mémorisation ne fonctionne plus comme à l’état normal et il y a production de ces éléments disparates, qui vont devenir des intrusions. L’activité de certaines régions du cerveau impliquées dans les émotions (comme le circuit amygdalien notamment) devient désordonnée, ce qui a pour conséquence de perturber le fonctionnement du circuit hippocampique, impliqué dans la mémorisation de souvenirs entourés de leur contexte.

Les souvenirs flash sont donc des souvenirs dont le contexte est renforcé alors que les intrusions sont dépourvues de ce contexte, d’où leur caractère désordonné et incontrôlable.

TC : Ce « point de rupture émotionnel » varie-t-il d’une personne à l’autre ?

FE : Il varie d’une situation à l’autre, objectivement, mais au-delà de cela, de nombreux paramètres l’influencent : la nature de l’événement, sa phénoménologie, la façon dont la personne l’a ressenti, la façon dont elle va être aidée ensuite… Mais aussi en partie en lien avec des aspects génétiques, et avec le vécu de la personne (a-t-elle déjà subi des traumatismes, comment y a-t-elle réagi, etc.).

Parmi ces éléments, la façon dont la personne a vécu l’événement initial, dont elle a réagi dans les premières heures après le traumatisme, semble compter beaucoup. On sait qu’il est important de procurer rapidement après l’événement des interventions psychologiques de qualité, comme celles offertes par les personnels des cellules d’urgence médico-psychologiques (CUMPs), qui sont particulièrement bien organisées dans notre pays.

Soulignons aussi l’importance des contacts sociaux : certaines personnes vont s’isoler, tandis que dans d’autres cas, les membres de l’environnement vont réussir à interagir avec elle, à l’aider à surmonter cet état. C’est un point délicat, car il recouvre une grande part de subjectivité : certaines personnes sont entourées par leurs proches, mais, malgré elles, elles ne parviennent pas à tirer le bénéfice de ce soutien.

En outre, dans des événements de portée nationale, et même historique, comme les attentats du 13 novembre, la façon dont la personne se sent reconnue par les autres, d’une manière beaucoup plus générale, est également très importante : l’existence d’associations de victimes, de commémorations, d’un procès… Cette dynamique est complexe, car le ressenti est différent d’une personne à l’autre, d’autant que les personnes qui ont vécu de tels événements ne peuvent les oublier.

TCF : Ce qui signifie que le traumatisme peut être réactivé ?

FE : Effectivement, le traumatisme sera potentiellement réactivé par des événements qui ressemblent à ceux qui l’ont créé, ou par d’autres situations traumatiques. Au premier rang de celles-ci figurent d’autres attentats, mais nous étudions aussi l’impact de la pandémie actuelle de Covid-19 et ses conséquences socio-économiques sur les participants à l’étude Remember, dans le cadre d’une étude complémentaire intitulée Remember-pandémie. Il s’agit d’étudier la vulnérabilité et la résilience aux expériences de confinement secondaires à l’épidémie, au moyen d’entretiens téléphoniques avec des psychologues et de questionnaires en ligne.

Il faut bien saisir que les conséquences du traumatisme continuent de s’écrire en lien avec le monde qui évolue autour de la victime. La mémoire collective qui se construit influence profondément la mémoire individuelle. On ne peut pas comprendre la pathologie développée par les individus qui ont été victimes d’un psychotraumatisme dans le cadre d’un événement comme des attentats de l’ampleur de ceux du 13 novembre 2015 si on laisse de côté les dimensions collectives et sociales.

Cela n’entre pas en opposition avec une réponse biologique et médicale. Cependant l’analyse des mécanismes, de leurs intrications, et donc la mise en évidence de potentielles thérapeutiques pertinentes, passe par la compréhension de cette dimension sociale. La possibilité d’une synergie entre la mémoire meurtrie de la victime et la mémoire sociale est l’une des voies de la résilience.

Comme le soulignait déjà en 1925 le sociologue Maurice Halbwachs, auteur de l’ouvrage « les cadres sociaux de la mémoire », tout acte de mémoire est un acte social. On ne peut pas comprendre la mémoire individuelle si on oublie ce point…



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16 mars 2023

Les dangers du pilotage de F1

Conduire une Formule 1 est un rêve pour la plupart des passionnés de sport automobile. Les sensations de vitesse et la montée d'adrénaline qui en découlent sont inégalées. Mais que faut-il faire pour conduire une voiture de Formule 1, et que faut-il faire pour être au volant de l'une des voitures de course les plus perfectionnées au monde ?

Tout d'abord, parlons des exigences physiques de la conduite d'une voiture de Formule 1. Le pilote est soumis à des forces incroyables pendant la course, qu'il s'agisse de la vitesse ou de la décélération. Les forces g que le pilote subit pendant une course peuvent atteindre 6g, soit six fois la force de gravité. De ce fait, le poids du corps du pilote peut être multiplié par six environ dans les virages, ce qui exerce une pression immense sur notre corps. Le pilote doit faire preuve d'une endurance et d'une forme physique incroyables pour résister à ces forces pendant toute une course.

Deuxièmement, la conduite d'une voiture de Formule 1 exige une concentration mentale et une précision incroyables. La voiture est extrêmement hypersensible et réceptive, baptême de F1 ce qui signifie que le moindre mouvement des commandes ou des pédales peut avoir un impact considérable sur les performances globales de la voiture. Le pilote devra faire preuve d'une coordination œil-paume exceptionnelle, ainsi que d'une capacité à réagir rapidement aux changements de conditions sur la piste.

L'expérience de la conduite d'une voiture de Formule 1 ne ressemble à rien d'autre. L'accélération est fulgurante et la voiture peut atteindre une vitesse de 220 milles à l'heure. Le bruit du moteur est assourdissant et la voiture a l'air d'une fusée lorsqu'elle dévale la piste. Le pilote doit être constamment attentif à sa zone et à l'état de la voiture, afin de prendre des décisions à la seconde près qui feront la différence entre le succès et la défaite.

Bien entendu, piloter une Formule 1 n'est pas sans risques. Les vitesses maximales et les facteurs intenses impliqués impliquent que les accidents peuvent être catastrophiques. La sécurité de base s'est considérablement améliorée au fil du temps, avec l'introduction de dispositifs tels que le système de protection halo du cockpit, mais le risque existe toujours.

En conclusion, conduire une voiture de Formule 1 est une expérience incroyable qui exige une force mentale et physique, ainsi qu'une capacité de conduite exceptionnelle. La vitesse et la puissance de la voiture sont inégalées, et le frisson de la course est quelque chose qu'il faut connaître pour le comprendre vraiment. Néanmoins, il est important de garder à l'esprit les risques encourus et la détermination nécessaire pour se battre au plus haut niveau du sport automobile.

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22 février 2023

Calvin

«Le voile du mariage sacré permettra à mon mari et à son épouse de s'offrir réciproquement plaisir.» Probablement aucun théologien n'a fait beaucoup plus pour former nos pensées occidentales actuelles sur l'amour, les relations et la famille que John Calvin. Le pasteur français influent a vraiment aidé à sortir la communauté des âges sombres en redéfinissant les fonctions des maris et des femmes et en introduisant de nouvelles suggestions de divorce qui permettaient aux hommes et aux femmes de poursuivre en justice pour la garde et la pension alimentaire. Calvin avait 30 ans lorsqu'il a commencé à envisager sérieusement le mariage pour eux-mêmes. Continuant avec un point précoce de son travail de bureau, il considérait les conjoints comme un peu plus que des femmes de ménage glorifiées. «Je n'ai jamais utilisé de conjoint», composa Calvin, «et je ne sais pas si je vais éventuellement me marier. Fondamentalement, si je faisais cela, cela pourrait être pour me libérer personnellement de problèmes insignifiants afin que je puisse m'investir personnellement dans le Seigneur. Ses copains l'ont exhorté à chercher un compagnon. Il a exposé sa politique du sol pour ce type d'union, en composant: Je ne suis pas de ces passionnés insensés qui embrassent même les vices, dès qu'ils ont été conquis par un bon physique. La seule vraie beauté qui me séduit est celle-ci: si elle est modeste, serviable, pas hautaine, frugale, patiente, et puis on s'attend à ce qu'elle se préoccupe de mon bien-être. Au début de 1540, parmi les partisans de Calvin, il le dévoila à une jeune femme allemande issue des nobles membres de votre famille. Il avait besoin d'une femme de ménage meilleure moitié avec qui il pourrait communiquer et prévoir des problèmes d'interaction avec la dame qui parle allemand. Il ne voulait pas blesser ses sensations; il a décidé à contrecœur à la cérémonie de mariage sur la situation, elle découvre comment parler français. Sa famille a commencé à planifier un mariage pour le printemps. Simultanément, Calvin a envoyé son frère avec les instructions pour identifier facilement un candidat au mariage considérablement meilleur. (Les recherches de son frère ont finalement été un échec.) Il est vraiment évident que Calvin était peu convaincu que sa fiancée pouvait apprendre le français. . . et elle n'a apparemment jamais fait, puisque l'heure du mariage a émergé et voyagé sans cloches de noce. Par la suite cette année-là, Calvin a identifié une possibilité de mariage encore plus acceptable chez Idelette de Bure, un membre veuf de sa congrégation. Cette nouvelle dame possédait une expertise dans la gestion d'une maison, avec deux jeunes enfants de son dernier mariage - à peu près un kit de démarrage de base pour la maison selon Calvin. Surtout, elle parlait sa langue. Cette période, Calvin a traversé l'utilisation des noces.

26 octobre 2022

Un voyage en ville

Les villes sont des endroits passionnants, pleins de choses à faire et à voir. Mais l'une des choses que les gens voient souvent plus que ce qu'ils veulent quand ils voyagent en ville, ce sont les routes encombrées et les embouteillages. Apprendre à contourner ces problèmes et à tirer le meilleur parti de la situation où ils sont inévitables peut considérablement augmenter votre plaisir.

Les voitures sont le mode de transport de base pour la plupart des villes. Cependant, de nombreuses villes n'ont pas été construites pour gérer le trafic quotidien auquel elles sont confrontées et voyager en voiture peut être lent et frustrant. Cependant, ils sont le moyen de transport de prédilection pour la plupart des citadins et des visiteurs, sauf dans certains endroits comme New York.

Le principal avantage des voitures est de pouvoir aller exactement où vous voulez, quand vous voulez y aller, sans aucun horaire à suivre sauf le vôtre. Cet avantage l'emporte sur le désagrément de la conduite dans une circulation dense ou de rester coincé dans les embouteillages, pour beaucoup. L'individualisme a rendu ce type d'indépendance très attractif pour la plupart des gens du monde occidental.

Un autre avantage d'une voiture est pour les personnes âgées ou handicapées. Ceux qui ne peuvent pas marcher entre les arrêts des transports en commun ou grimper librement dans les bus et les taxis peuvent trouver que la voiture est le seul moyen pratique de se déplacer. Les voitures peuvent être personnalisées pour le confort et modifiées pour répondre à des besoins particuliers, tout comme les transports en commun et les taxis.

Dans certaines villes, le transport en commun est le mode de vie. Ces villes sont communes sur la côte est des États-Unis et dans certaines régions d'Europe et d'Asie. Cela n'est pratique que parce que ces villes disposent de vastes réseaux de trains et de bus, auxquels s'ajoutent de nombreux taxis facilement disponibles pour se rendre dans un lieu non desservi.

D'autres villes sont moins bien équipées pour que les gens puissent utiliser les transports en commun. Les bus peuvent être lents ou en retard et ne fonctionnent pas assez souvent. Il n'y a pas de système de train utile dans la plupart des villes américaines de la côte ouest, bien qu'il existe quelques exceptions. Les trains existants ne desservent pas suffisamment la ville pour être particulièrement utiles. Les taxis peuvent rarement être signalés, mais doivent plutôt être demandés.

Si vous allez conduire dans une grande région métropolitaine, apprendre les schémas de circulation peut faire toute la différence. Si vous êtes un visiteur, demander à quelqu'un qui vit dans la région ou qui s'y rend est une bonne idée. A défaut, vous pouvez vérifier sur Internet les zones à éviter à certains moments de la journée.

Que vous y habitiez ou que vous y veniez, les voyages en ville peuvent être ennuyeux au mieux. Parfois, vous risquez de passer plus de temps sur la route qu'à votre destination. Mais beaucoup de personnes trouvent que les avantages en valent la peine et, avec un peu de chance et beaucoup d'informations, 100% Voyage vous pouvez résoudre certains des problèmes.

Vous recherchez des circuits en bus à Boston, des visites en bus à Washington DC et des visites en bus à Toronto? Ne cherchez pas plus loin car nous desservons de nombreuses destinations en Amérique du Nord pour une expérience unique et mémorable.

 
21 septembre 2022

Les écarts de chomage

Le taux de chômage en France est d'environ six points de pourcentage plus élevé pour les immigrés africains que pour les natifs. Aux États-Unis, le taux de chômage est d'environ neuf points de pourcentage plus élevé pour les Noirs que pour les Blancs. L'écart entre la minorité (immigrés africains ou noirs) et la majorité (autochtones ou blancs) reste important même après contrôle des attributs individuels tels que l'éducation, l'âge ou d'autres caractéristiques démographiques. La persistance des écarts ethniques de taux de chômage est une préoccupation politique majeure, d'abord en termes d'égalité des chances et ensuite en termes d'efficacité économique, car des ressources considérables sont gaspillées pour l'économie si de grands groupes ne peuvent pas facilement accéder à l'emploi. Cependant, les causes des lacunes sont encore débattues. En particulier, on ne sait pas encore si c'est la « race » ou « l'espace » qui est le principal facteur explicatif des mauvais résultats sur le marché du travail de nombreuses minorités (voir Ellwood, 1986). La littérature sur l'inadéquation spatiale, initiée par Kain (1968), a en effet tenté de déterminer si les travailleurs issus de minorités ont un accès plus difficile au marché du travail ou s'ils sont confrontés à des obstacles dans le choix du logement, ce qui rend difficile leur localisation à proximité des opportunités d'emploi.
Temps de trajet
Un indice peut provenir de l'observation des données sur le temps de trajet par groupes de travailleurs. Les données indiquent que la minorité fait face à des temps de trajet plus longs pour se rendre au travail, reflétant potentiellement un accès plus difficile aux emplois. Le tableau 1 montre qu'en France, l'écart entre les temps de trajet médians rapportés au temps de travail journalier est de 17 % (et de 24 % pour le temps de trajet moyen). 1
Aux États-Unis, les différences de temps de trajet entre les travailleurs noirs et blancs sont similaires à celles de la France. De plus, la France et les États-Unis diffèrent en ce qui concerne les taux de mobilité géographique liée à l'emploi : ils sont plus élevés pour les travailleurs minoritaires que pour les travailleurs majoritaires en France, et assez similaires pour les Blancs et les Noirs aux États-Unis.
Étant donné que plusieurs facteurs affectent le taux de chômage d'équilibre d'un groupe donné, y compris non seulement la productivité et les décisions d'acceptation d'un emploi, mais aussi des caractéristiques géographiques telles que la mobilité géographique, l'accès à des lieux de résidence avec un bon accès à l'emploi et enfin la possibilité de se déplacer, il est difficile évaluer le rôle respectif de chaque facteur dans la détermination des taux de chômage ethnique. Malheureusement, il est difficile de trouver une expérience naturelle appropriée pour bien décomposer le rôle respectif de chaque marché (logement et marché du travail).
Nouvelle recherche
Dans un article récent (Gobillon, Rupert et Wasmer 2013), nous essayons de quantifier l'impact de l'inadéquation spatiale sur le taux de chômage des groupes ethniques. Plus précisément, nous proposons une méthodologie pour évaluer cette hypothèse de « discordance spatiale dynamique », c'est-à-dire les décisions intertemporelles de logement, de déplacement, d'acceptation d'un emploi et de démission. Nous construisons un modèle d'appariement macroéconomique traitable destiné à capturer les forces pertinentes à l'œuvre. Elle permet d'évaluer l'importance des facteurs liés au marché du travail et des facteurs spatiaux. Nous modélisons les frictions sur les marchés du travail et du logement alors que, dans la littérature, les frictions sont généralement introduites sur un seul marché ; nous calibrons le modèle pour obtenir des résultats quantitatifs plutôt que de donner uniquement des prédictions théoriques ; enfin, nous effectuons des statiques comparatives pour évaluer la contribution des facteurs professionnels et spatiaux à l'écart de taux de chômage ethnique.
Résultats
Globalement, si les facteurs liés au marché du travail jouent un rôle majeur, les facteurs spatiaux expliquent en France entre 17 % et 25 % de l'écart de taux de chômage entre la minorité et la majorité, selon les décompositions. Les résultats apparaissent robustes à divers paramètres de calage alternatifs et correspondent à un écart de taux de chômage compris entre 1 et 1,5 point de pourcentage, sur six points de pourcentage. Decreuse et Schmutz (2012) trouvent des résultats qualitatifs similaires puisque, dans leur étude, les facteurs spatiaux expliquent environ 15 % de l'écart de taux de chômage. Il est également cohérent avec Rathelot (2013) qui étudie l'écart d'emploi entre les natifs français et les Africains de deuxième génération, et constate qu'entre 63 % et 89 % de l'écart d'emploi subsiste après contrôle des caractéristiques individuelles observables et de la localisation, ce qui suggère que les différences d'accès au marché du travail jouent un rôle majeur et les facteurs spatiaux un rôle moindre.
Des travaux supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre les facteurs à l'origine des différences ethniques dans l'accès au marché français du logement. Il semble que les différences de résultats entre les groupes ethniques sur le marché du logement soient moins dues au fait que la minorité reçoit moins d'offres de logement qu'au fait que la minorité reçoit moins de bonnes offres. Autrement dit, alors que la probabilité d'offres de logements peut être la même pour la minorité et la majorité, les offres à la minorité concernent des logements situés plus loin des emplois. Ce résultat est cohérent avec d'autres travaux sur le marché français du logement qui mettent l'accent sur une forte inadéquation spatiale et une ségrégation croissante (Bouvard et al. 2009). 2
Aux États-Unis, les facteurs spatiaux semblent également jouer un rôle et expliquer 1 à 1,5 point de pourcentage de la différence de taux de chômage entre les Noirs et les Blancs. Cependant, cela ne correspond qu'à 10 à 17,5 % de l'écart total de taux de chômage racial, car il existe une différence absolue plus importante dans les taux de chômage.
conclusion
Il semble que les différences dans les distances de navettage expliquent une grande partie de l'écart de taux de chômage. En France, une plus grande mobilité de la minorité compense en partie la contribution des différences de navette à l'explication de l'écart de taux de chômage.
Dans l'ensemble, les facteurs liés au marché du travail restent la principale explication du taux de chômage plus élevé des immigrés africains en France et des Noirs aux États-Unis, mais il convient de mieux comprendre pourquoi les travailleurs issus de minorités sont confrontés à des temps de trajet plus longs, en particulier en France où les études sont rares.
Plus généralement, nous pensons que notre méthodologie peut être reproduite pour traiter d'autres problèmes dans lesquels les marchés du travail et du logement interagissent de manière complexe.

4 juillet 2022

Faire un vol en hélicoptère

Les voyages et excursions en hélicoptère sont sans aucun doute les rencontres les plus inoubliables et les plus palpitantes où que vous soyez. Chopper Trips & Tours s'est associé de loin aux opérateurs d'hélicoptères les plus fiables au monde pour vous proposer une gamme d'excursions en hélicoptère comme aucune autre. Il n'y a tout simplement pas de meilleur regard sur... eh bien... rien du tout que les panoramas à couper le souffle qui s'ouvrent devant vous dans un hélicoptère ! Contrairement à la cabine étouffante d'un avion commercial, dans laquelle vous regardez par la petite fenêtre, votre vue bloquée par une énorme aile - dans un hélicoptère, vous êtes juste là. En lévitation, flottant dans la pièce ! Vous jureriez que vous pouvez simplement atteindre et toucher les gratte-ciel, les montagnes, les nuages, l'océan, le canyon... peu importe ce que vous volez plus. Vous ne faites pas que voir les lieux, vous planez en eux ! Il n'existe rien en profiter. Une excursion en hélicoptère est vraiment la seule méthode pour voyager. Les vols aériens en hélicoptère varient de l'aventureux au romantique, des balades rapides aux visites complètes. Voici une ventilation de ce à quoi vous attendre, de ce que vous pouvez voir et du style de vol en hélicoptère qui vous convient le mieux. Combien coûte vraiment un voyage en hélicoptère ? Les voyages en hélicoptère varient en coût en fonction du temps que vous souhaitez passer dans les airs et du type d'hélicoptère utilisé pour le voyage. Peu importe le nombre d'excursions en hélicoptère, elles peuvent être le moyen le plus simple de visiter des sites sans obstruction. Avoir un super look lors d'un vol en hélicoptère? Tenue selon la période. Pendant les semaines d'été, il est préférable de porter des lunettes de soleil et de la crème solaire. À quoi s'attendre lors de votre voyage en hélicoptère Après avoir atteint l'héliport, vous serez informé du protocole de sécurité avant de boucler votre ceinture et de vous préparer à l'examen. Les photographes voudront peut-être se renseigner sur le port d'une utilisation plutôt que d'une ceinture de sécurité traditionnelle afin de capturer des images sous autant d'angles que possible (attention, tous les vols n'offrent pas cette option). Pendant que vous planez avec le ciel, des informations sur les sites répertoriés ci-dessous seront fournies soit par le biais d'une narration préenregistrée sur le casque, soit par votre pilote. Certaines visites incluent même un atterrissage, vous offrant des séances de photos sous tous les angles. Un grand avantage d'un voyage en hélicoptère est la possibilité de visiter de nombreux points de vue en l'espace de quelques minutes. Envie de tourner immédiatement au-dessus de la Statue de la Liberté ? Ou sortir du lit près de sa torche ? Ou plonger bas sur l'eau pour faire un essai sous ses pieds ? Tout est possible sur le trajet en hélicoptère. Combien de personnes un Chopper Ride peut-il prendre en charge ? Cela dépend principalement de la conception. La capacité varie de votre intelligent Robinson R22, qui ne peut prendre qu'un seul passager, à l'EcoStar haut de gamme qui peut en supporter jusqu'à sept. La plupart des choppers appliqués aux excursions peuvent accueillir 3 à 5 personnes. Certaines excursions offrent même la possibilité de s'asseoir à côté de l'aviateur. Il convient de souligner que toutes les excursions ne sont pas personnelles, les sièges des voyageurs étant généralement basés sur le poids. Par conséquent, vous n'êtes pas toujours assuré d'avoir une chaise à côté de vos amis ou de votre famille. Pour être prudent, réservez un voyage sur un hélicoptère que vous savez que vous pouvez remplir (gardez également les yeux ouverts pour les vols aériens personnels, disponibles dans la plupart des grandes régions métropolitaines). Qu'est-ce que c'est exactement sur un vol en hélicoptère ? Un voyage en hélicoptère est certainement une méthode passionnante pour apprendre la géographie d'un nouvel emplacement. C'est aussi l'occasion idéale de revoir les attractions préférées sous de nouveaux angles. Pour les photographes, capturer des images de votre environnement est infiniment plus gratifiant que d'envoyer un drone et d'appuyer sur des touches de contrôle sur une télécommande. Il existe plus de 5 000 héliports fonctionnels aux États-Unis. Si vous avez un domaine particulier en tête, il y a de fortes chances qu'une visite soit disponible pour vous !

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Antoine Collet
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A propos
Bonjour, je m'appelle Antoine Collet : quarantenaire bien dans ses pompes, papa heureux, époux comblé, et humain désespéré.

Je partage ici avec vous mon point de vue sur ce monde à la dérive, et son actualité toujours plus désespérante.
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